Introduite en Béarn à partir de 1960 par la mouvance occitaniste, la graphie en a des finales
féminines traditionnellement notée par e fait toujours débat. Cette étude voudrait apporter
un éclairage global de ce problème, tant dans l’espace gascon qu’à travers les siècles.
Les écrits du passé témoignent de prononciations en [oe]dès avant 1200, mais aussi du
maintien de prononciations en [a]bien plus tardif qu’on ne le pense, et de ce qu’en de nombreux
lieux celles en [o]d’aujourd’hui ont été précédées d’une phase en [oe]insoupçonnée, au
point que sa notation par e fut sentie, dès le XVIe s., comme une spécificité du gascon.
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